This second guest post, from Thierry Chantier, describes how the French Python community is helping young programmers with Mu. I’m especially pleased that he’s submitted his blog in French. We love to celebrate the efforts of Mu users all over the world!

It’s a common cliché: french are not good english speakers. But hey, micro:bit, Monthy Python … and Mu comes from the UK, we have to deal with it. (Oh, I forgot the Sex Pistols) The rest of this article will be in french, but that won’t be a problem, you are all french fluent, aren’t you? ;) If Nicholas need some training, I know how to organize something in may 2019 in Lyon :)

Tout d’abord, je me présente : Thierry, aka titimoby sur Internet depuis déjà quelques années. Même si je suis également passionné de musique en fréquences basses, je suis pour ma part tombé dans la marmite informatique dès le plus jeune âge.

D’ailleurs, mon premier rêve de geek fut l’achat d’un ZX Spectrum+, cette merveille elle aussi issue des terres anglaises. Toujours est il qu’après un parcours dont cet article n’est pas le sujet, je me suis un jour retrouvé après une keynote de la conférence MixIT à me lancer dans une association pour les enfants.

MixTeen est née de cette passion pour tout cet univers numérique (en français, digital concerne l’usage des doigts ;)) Nous sommes donc une petite équipe qui essayons d’organiser des ateliers de découverte. Les premiers pas se sont fait en utilisant Scratch, puis au fur et à mesure, tout ce que nous nous sentions d’utiliser. Rapidement, l’envie de lier cette découverte du code au monde physique s’est faite sentir.

Comme j’ai pris goût au monde des makers, comme quelques petits bricolages par ici ou par là c’est avec joie que j’ai vu apparaître la carte micro:bit Très vite, cette carte ou de celles de chez Adafruit sont devenues des invitées permanentes de nos ateliers. En parallèle, certains enfants que nous rencontrons reviennent, grandissent et souhaitent aller plus loin avec Python. Le souci est alors d’avoir des outils suffisamment simples à installer et à utiliser, si possible sans connexion à Internet.

L’apparition de Mu semble répondre à tous ces critères et on lui fait une place dorénavant. La gestion des cartes micro:bit est très sympa et la découverte de python me semble plus claire avec Mu.

Les pythonistas de la PyconFR ont d’ailleurs bien aimé Mu. Cette fois là, en plus des enfants, nous nous sommes retrouver à initier des parents et c’était un très bon moment.

Il ne manque plus qu’une fonction de selfie dans Mu pour avoir des photos de bonne qualité, je suis généralement trop occupé pour pouvoir faire une photo qui ne soit pas floue ;)

En attendant, nous continuerons d’aider à traduire Mu (ou les ressources de la fondation Raspberry, on est très ouverts)

Et comme le disent les Girls Can Code! :

“ALLEZ MU !”